L’éditeur de Windows fait son entrée dans le classement des plus gros contributeurs de Linux. Contribuer au code du noyau Linux permet à son outil de virtualisation Hyper-V d’être compatible avec l’OS libre. Or, cette compatibilité est désormais incontournable sur le marché de la virtualisation et du Cloud Computing.

Ce samedi à la médiathèque c’était la fête du logiciel libre.

Microsoft a fait pour la première fois son apparition dans le classement des vingt plus gros contributeurs au noyau de Linux, selon le rapport annuel de la Linux Foundation. Les apports de Microsoft ont représenté 1% des contributions entre les mois d’octobre 2010 et janvier 2012. Les trois plus importants contributeurs sont Red Hat (10,7%), Intel (7,2%) et Novell (7,2%).

L’apport de Red Hat (un milliard de dollars de chiffre d’affaires) à Linux est indéniable reconnaît le directeur de la fondation Linux, Jim Zemlin. Néanmoins, Linux est d’abord un «investissement collectif» bien plus considérable.

La publication de la liste des contributeurs au noyau Linux vient confirmer une fois de plus que Microsoft voit en l’open source une opportunité plus qu’une menace.

Le travail accompli par Microsoft sur le pilote de l’hyperviseur Hyper-V fait entrer l’éditeur dans la liste des importants contributeurs au développement du noyau de Linux.

Samsung a été condamné par la justice pour vente liée et refus d’indemniser équitablement le consommateur qui avait refusé les licences des logiciels préinstallés. Pour l’Aful, ce jugement est «historique» car considérant explicitement la vente liée comme une pratique «déloyale».

Stress test de campagne

À un moment où tout le monde à les yeux rivés vers les élections présidentielles, les pirates regardent déjà plus loin vers l’horizon et scrutent les élections législatives de juin prochain. Leur objectif? Obtenir leur premier siège à l’Assemblée nationale.

Encore une décision de justice qui condamne la vente liée entre PC et OS sous le motif de pratique déloyale.

Le très populaire lecteur multimédia français veut permettre à ses utilisateurs de lire les disques protégés.

Le débat sur les logiciels libres et les outils open source a toujours fait rage en Tunisie. Comparé aux autres pays nord-africains et arabes, le nôtre dispose de l’une des communautés de logiciels libres et open source la plus grande.