Google rachète Motorola Mobility pour 12,5 milliards de dollars
Google vient d’annoncer le rachat de Motorola Mobility pour un montant total de 12,5 milliards de dollars. Les actionnaires voient ainsi leurs parts valorisées de 63 % par rapport à leur cote de vendredi.
Google/Motorola : la preuve que le système des brevets est en panne
Ce texte est signé de Jamie Love, directeur général de Knowledge Ecology International, une ONG spécialisée dans les effets de la propriété intellectuelle sur les politiques de santé, d’environnement ou d’innovation. Publié à l’origine sur le Huffington Post, il est traduit en français par Florent Latrive, avec l’autorisation de son auteur. Il est sous licence Creative Commons.
Pendant les vacances, l'Hadopi pose enfin les bonnes questions
L’Hadopi a lancé un appel d’offres pour identifier les raisons pour lesquelles les internautes consomment peu de biens culturels sur Internet, et identifier les leviers qui permettraient de muscler la consommation légale.
Vente liée, CLUF : la justice épingle Samsung France
Afin d’éviter les condamnations pour vente liée, les constructeurs ont mis en place des procédures de remboursement des licences refusées par leurs clients. Le hic est que ces démarches sont parfois complexes. La juridiction de proximité des Sables d’Olonne (*) vient ainsi de déclarer abusives plusieurs clauses de la procédure organisée par Samsung.
Google muscle Android et ses brevets en rachetant Motorola
Google vient d’annoncer le rachat de la société Motorola pour muscler son système d’exploitation Android, ses parts de marché dans le mobile et acquérir les brevets de la société…
Google s'offre cash Motorola pour 12,5 milliards de dollars
Décidé à contrer Apple,Google entreprend un écart périlleux pour mettre la main sur Motorola. De partenaire privilégié de Samsung, LG, HTC et consorts avec le système Android, la société se transforme en concurrent direct. Autant dire que la ligne sera étroite pour réaliser le sans faute avec la quarantaine de sociétés ayant signé un accord de licence avec elle. Alors, quelle peut donc être la motivation de Google ? Le portefeuille de brevets détenu par Motorola ou le besoin de lutter à armes égales avec Apple ?
Une histoire d’hébergeurs (2/2): et la liberté d’expression?
Suite et fin d’ “Une histoire d’hébergeurs”, par le juriste Benoit Tabaka, qui revient sur la création du concept de “contenu manifestement illicite”, en s’interrogeant sur ses effets réels, notamment sur la préservation de la liberté d’expression.
« Les titres de propriété intellectuelle sont utilisés comme des outils stratégiques »
Ces dernières semaines, les attaques entre géants des nouvelles technologies se sont multipliées. En cause, les brevets logiciel déposés par ces sociétés, couvrant parfois leurs innovations et, plus souvent, leur permettant de poursuivre leurs concurrents. Wikipédia définit le brevet logiciel comme « un droit exclusif d’exploitation portant sur une méthode mise en œuvre à l’aide d’un ordinateur ».
Brevets : l'interminable course aux poursuites
Mardi, le principal concurrent d’Apple sur le marché des tablettes a connu le plus grand revers à ce jour dans la bataille juridique qui l’oppose à l’Américain : sa Galaxy Tab 10.1 sortie la veille sur le territoire européen, a été interdite provisoirement à la vente en Allemagne, voire dans l’Union européenne. Une classique histoire de brevets ? Pas tout à fait. Apple reproche à Samsung d’avoir copié le design de son iPad 2.
Une histoire d’hébergeurs (1/2): naissance d’une responsabilité
En 1999, naissait la notion de responsabilité des hébergeurs face aux contenus litigieux d’Internet. Premier volet d’une rétrospective de Benoit Tabaka sur un régime juridique qui vient aujourd’hui estomper la liberté d’expression sur le réseau.
La stratégie numérique de Manuel Valls
Les réponses du député-maire d’Evry et candidat à la primaire PS à notre questionnaire sur sa vision d’Internet et des réseaux sociaux dans la campagne présidentielle.
Dessine-moi un hacker
OWNI vous propose un poster synthétisant une étude réalisée par un Finlandais sur les hackerspaces. Elle se base sur environ 250 réponses de 87 communautés de 19 pays du monde entier.