Google Chrome : les bugs sont mis à prix
Que ce soit Google Chrome ou son socle open source Chromium, et pour toutes les branches ( stable, bêta, dev ), Google lance un défi à tous les chercheurs en sécurité informatique, et promet une récompense pour les trouvailles les plus intéressantes. La récompense sera de 500 dollars et elle pourra atteindre 1 337 dollars ( somme étonnamment précise* ) pour tout bug déniché qui sera jugé particulièrement sévère ou à l’exploitation intelligente. Les extensions et les plugins tiers ( non intégrés dans le projet Chromium ) ne sont pas concernés.
PwC Study Shows Patent Trolls Are Thriving
Une étude montre que les spéculateurs de brevets (qui ne déposent des brevets que dans le but de faire de la rente ou d’aller au procès) sont une part de plus en plus importante du système de brevet (pas uniquement logiciel).
Danish Parliament Sets Rules for Open Document Formats
Le Danemark choisit d’utiliser le format OpenDocument pour les échanges de documents au sein et entre les ministère et le gouvernement. Les collectivités locales devraient suivre le mouvent.
Richard Stallman : « l’avenir du libre dépend de vous tous »
[…] Notre force est d’avoir développé des systèmes d’exploitation et des applications libres pour presque toutes les activités informatiques ordinaires. Notre faiblesse est que la plupart de leurs utilisateurs n’ont pas conscience de l’idée même de la liberté pour laquelle nous nous battons.
HTML 5, pas encore prêt pour les applications "riches"
[…] Les conclusions qu’en tirent les développeurs sont pour le moins amères : étant donné la domination d’Internet Explorer, en l’état il est difficilement envisageable d’utiliser HTML 5 pour les web apps “riches”. Même sur les autres navigateurs, HTML 5 donne de bien piètres résultats comparés à une solution native, puisqu’au mieux ils obtiennent près de 8 images par seconde (contre une centaine en natif de manière générale).
Partout dans la société, un autre monde est déjà là !
[…] L’exemple le plus spectaculaire est celui du logiciel libre : sur la base de la coopération gratuite et décentralisée, une communauté mondiale de quelques centaines de milliers d’informaticiens a édifié une architecture dont les performances défient les géants de l’informatique. Grâce à elle des millions d’internautes partagent désormais gratuitement informations et culture sur Internet, rendant nécessaire et à terme inévitable une révolution de l’économie du secteur culturel.
Chtinux : pour tout savoir sur les logiciels libres
C’est quoi, Chtinux ? Un jeu vidéo à la manière de Zelda, qui verrait un Link lillois … battre la campagne des Flandres pour sauver sa virtuelle princesse ? Pas du tout. Chtinux est une association, qui a vu le jour en 2002, et qui a pour cheval de bataille la promotion des logiciels libres dans la métropole lilloise. Pour les membres de ce GULL (pour « groupe d’utilisateurs de logiciels libres »), les logiciels fournis par défaut sur les ordinateurs ne représentent pas forcément la réponse adaptée à leurs envies informatiques.
Le mode de gestion de la sécurité s'invite dans la bataille des navigateurs
[…] Mais un évènement récent propulse au grand jour une des forces des logiciels libres : la réactivité par rapport aux problèmes de sécurité. Je parle bien évidemment de l’attaque subie par Google et 30 autres grandes sociétés il y a quelques jours.
Scott McNealy fait ses adieux à Sun après 28 ans de services
[…] Le co-fondateur n’indique pas dans son message s’il compte créer une nouvelle entreprise ou rejoindre un autre groupe. En juin 2009, il s’est vu confier la réalisation d’un rapport sur l’Open Source par le gouvernement Obama.
Ubuntu : Google évincé au profit de Yahoo!
Pour la distribution Linux Ubuntu, le moteur de recherche par défaut dans Firefox sera Yahoo! qui prendra la place de Google. L’utilisateur gardera néanmoins la maîtrise de la configuration.
7 prévisions pour l'Open Source en 2010
[…] Le génie est sorti de sa bouteille. La récession de 2003 nous l’a appris : les utilisateurs finaux qui ont goûté à l’open source (plus précisément Linux) ne sont pas revenus automatiquement aux systèmes propriétaires, même s’ils avaient davantage de moyens. C’est même le contraire qui s’est produit. Linux a gagné du terrain dès lors que les clients pouvaient entreprendre des projets plus ambitieux et se sentaient plus à l’aise avec l’open source, sa performance et le support associé.
Linux, OBM, LinShare : l'Inserm privilégie le libre pour garder la maîtrise
L’Open Source est entré à l’Institut de la recherche médicale en 2001 par les serveurs, désormais à 95% sous Linux, avant de se propager sur la messagerie avec OBM et l’application de partage de fichiers LinShare. Retour sur ces déploiements avec Patrick Lerouge, son responsable réseaux et sécurité.