Le gouvernement du Québec est passé de la parole aux actes en déposant mercredi matin un projet de loi qui devrait resserrer la gestion de ses ressources informatiques et, d’autre part, ouvrir davantage la porte aux logiciels libres.

Un projet de loi vient d’être présenté à l’Assemblée nationale du Québec pour définir un cadre dans l’emploi des logiciels au sein de la plupart des organismes publics, centraux ou non. En coulisse, l’objectif visé est clair : mettre en concurrence le logiciel propriétaire et le logiciel libre, et préconiser ce dernier lorsqu’il s’avère le meilleur choix. Des mesures d’accompagnement sont également prévues pour inciter à son usage dans toutes les strates de l’administration.

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Ce logiciel open source donne de très bons résultats pédagogiques. Plusieurs enseignants l’utilisent avec succès, et il peut se révéler d’une grande aide avec les élèves handicapés. Retour sur quelques expériences.

Oracle a annoncé hier tambour battant que ses propositions de spécification pour Java SE 7 et 8 ont été approuvées par une écrasante majorité des membres du JCP.

En entendant « refonte du capitalisme », nous pensons le plus souvent à la réforme de la régulation des marchés financiers et des banques.

Hudson est une solution libre d’intégration continue en java, qui était hébergée par java.net, un portail de l’ère de Sun, pas vraiment connu pour sa solidité. C’est pourquoi les responsables du projet Hudson ont décidé de migrer vers GitHub,…

A 12 voix contre 3, le comité exécutif du JCP a approuvé la feuille de route des versions 7 et 8 de Java. Laissant la fondation Apache, qui avait menacé de quitter l’organisme en cas de vote en faveur du projet d’Oracle, au pied du mur.

(Québec) La première chose qu’on remarque chez Richard Stallman, c’est son apparence, la barbe et les cheveux en désordre. Mais quand on l’écoute, c’est le pouvoir de ses idées qui frappe. Le «père» du logiciel libre a fondé un mouvement afin de protéger nos droits essentiels, notre «souveraineté» informatique.

L’éditeur américain vient d’investir dans la jeune pousse française TurboHercules, à l’origine d’un émulateur en open source pour les grands systèmes « mainframe ». Signe particulier : elle est en guerre avec IBM, qu’elle accuse d’abus de position dominante…