«GAFAM Nation», un rapport d’une trentaine de pages de l’Observatoire des multinationales (une association qui milite pour l’encadrement des activités de lobbying), dénonce la «toile d’influence des géants du web en France», rapporte l’AFP.

Drôle de question penserez-vous. Mais observons surtout que les GAFAM surfent sur les termes “logiciel libre” et “open source”. Mais pourquoi ces nouvelles pratiques marketing sont “inno-ventes”?

Guillaume Poupard, qui a annoncé début décembre quitter l’ANSSI, qu’il dirigeait depuis 8 ans, deviendra début janvier l’un des quatre directeurs généraux adjoints de Docaposte, la filiale de services numériques du groupe La Poste. L’annonce a été faite sur Twitter.

L’association Framasoft propose de s’émanciper des GAFAM et du capitalisme de surveillance en proposant des outils numériques éthiques pour construire un monde meilleur.

Selon la lettre d’informations «Politico», le concepteur de Covid Tracker et Vite ma dose devrait intégrer l’équipe communication et stratégie de la présidence de la République. Son poste? Conseiller data.

Atom a initialement été développé par GitHub. Avec le rachat de l’entreprise par Microsoft, le destin du projet était plus sombre, la firme de Redmond proposant son Visual Studio Code, basé sur Atom. Depuis, VSC a pris son envol et concentre les efforts de l’éditeur en matière d’IDE open source.

Le ministère de l’Education nationale a récemment appelé à cesser le déploiement des solutions éducatives et de bureautique américaines dans nos écoles. Une question de légalité, mais aussi de politique, à l’heure où la souveraineté numérique est sur toutes les lèvres.

Cette fin d’année est chargée du côté des régulateurs. Discord, EDF, Free… la CNIL a multiplié les sanctions pour violation du RGPD ces dernières semaines. La DGCCRF n’est pas en reste avec la mise en ligne de plusieurs enquêtes et une demande de règlement de 3,33 millions d’euros auprès d’Amazon.

Eric Léandri, ancien patron du moteur de recherche Qwant, a fondé Altrnativ, une société d’espionnage en open-source.

Cette notion récente s’inspire des travaux d’Elinor Ostrom sur les «communs» pour politiser la gouvernance des déchets industriels non recyclables. Trop souvent invisibilisés et relégués dans des territoires pauvres, ils nécessitent une communauté élargie et solidaire pour les prendre en charge.