Roadmap du logiciel libre 2020 : Appel à participation
Les porteurs de l’initiative “FLOSS Roadmap 2020” annoncent l’ouverture du site http://www.2020flossroadmap.org dédié à l’élaboration collaborative de la prochaine version de la feuille de route du logiciel libre à l’horizon 2020. Ce site coopératif, donc la création a été financée en partie par les pôles de compétitivité Cap Digital et System@tic, vise à permettre à l’ensemble de la communauté mondiale du logiciel libre de commenter et de proposer des améliorations à la version initiale de la roadmap, et d’élaborer de nouvelles thématiques liées à la conjoncture économique actuelle.
Sun Microsystems va former la Chine à l'open source
[…] Le programme, baptisé CHIPS (China Innovation Program for Students), formera des étudiants au logiciel libre. Lin Lee, vice-présidente “Global communities” de Sun, affirme que la maîtrise de compétences en open source aidera ces étudiants à être compétitifs. L’accord prévoit un programme de trois ans avec “des séminaires sur mesure, des cours pratiques, des ateliers et des programmes d’intégration qui s’adresseront principalement aux responsables des universités, aux enseignants et aux étudiants de filières liées à l’informatique de même qu’aux employés des sociétés d’informatique”, indique Chine Nouvelle.
L'Assemblée interjurassienne n'a pas proposé de recette miracle
[…] 42 millions pour Microsoft A Berne, ce qui fait jaser, c’est une grosse commande informatique de 42 millions de francs. Une somme que la Confédération s’apprête à dépenser auprès de Microsoft pour renouveler des licences de son parc d’ordinateurs. La Neue Zuercher Zeitung a déniché une trace de cette commande dans la Feuille officielle suisse du commerce et le quotidien zurichois s’étonne. Pourquoi n’y a-t-il pas eu d’appel d’offres public pour cette affaire, alors que la loi l’exige? Une question que se posent aussi les concurrents de Microsoft - et parmi eux les entreprises suisses qui installent des logiciels libres dans les administrations.
Le nouvel OpenOffice, version 3, n’a toujours pas corrigé les grosses erreurs de conception identifiées
« OpenSource et gratuit » n’implique en rien que le système soit sécurisé La première étude menée par le professeur Filiol et son équipe montre en 2006 et 2007 que cette confiance n’a pas lieu d’être. OpenOffice est extrêmement vulnérable aux attaques des macrovirus. Les commentaires entendus suite à cette première étude avaient été consternants : l’étude aurait été à la solde de Microsoft, elle s’intéresse à des attaques improbables, etc. Bref, beaucoup de réactions émotionnelles à chaud, voire de prises de position purement dogmatiques. Le laboratoire du professeur Filiol conçoit des macros-virus démontrant la faisabilité des attaques identifiées et communique le plus ouvertement possible avec les développeurs d’OpenOffice dans le but d’aider à concevoir une « Trusted OpenOffice Suite ».
Le projet GNOME recherche des fonds
Effet de la crise, le budget de la fondation GNOME est en danger. Elle se met donc en quête de dons. […] La fondation GNOME se charge de planifier le développement de ce projet, mais aussi d’en assurer la promotion. Le budget 2009 de la fondation a été établi avec soin. Les revenus devraient être de 221.665 dollars et les dépenses de 304.620 dollars. La fondation Gnome doit donc trouver près de 83.000 dollars pour boucler son budget.
Google et 47 sociétés poursuivis par un développeur pour l’usage du mot Android
Juridique - Un développeur de l’Illinois qui a déposé le nom “android” a décidé de poursuivre Google, l’Open Handset Alliance et des opérateurs pour l’utilisation de ce mot pour l’OS open source. Il réclame quelque 100 millions de dollars. Google et 47 sociétés, dont Intel, Motorola, Nvidia, Samsung, T-Mobile, Toshiba et Vodafone, tous membres de l’Open Handset Alliance ou opérateurs de téléphonie mobile, sont attaquées par la personne qui a déposé le mot « android » pour sa société.
l'US Army adopte le développement communautaire open-source
Le développement communautaire open-source n’est pas un mode de travail évident pour une organisation très hiérarchisée comme l’armée. Pourtant, l’armée américaine a franchi le pas…
Le futur Conseil national du numérique au service des citoyens ?
L’April a appris que Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’État à la prospective et au développement de l’économie numérique , souhaitait la mise en oeuvre avant l’été du Conseil national du numérique [1] (CNN) proposé par le plan France Numérique 2012. L’April, membre du Forum des Droits sur l’Internet qui devrait être intégré à ce CNN, tient à rappeler les principes de gouvernance nécessaires pour le succès d’une telle démarche de concertation multi-acteurs. L’April considère que l’existence d’une structure de co-régulation est plus que jamais nécessaire. Concernant le statut d’une telle structure, l’April est attachée à un statut associatif qui permet notamment d’accueillir toute organisation désireuse de participer à la concertation ouverte multi-acteurs, sans recours à un quelconque acte administratif ou parrainage politique.
Linux : un patch pour la polémique VFAT
Un patch pour le noyau Linux a été concocté afin de mettre un terme radical à la polémique entourant la prise en charge du système de fichiers VFAT née de la rixe judiciaire ayant opposé Microsoft et TomTom. Le fabricant de systèmes GPS TomTom a récemment eu maille à partir avec Microsoft. Des accusations de violations de brevets technologiques ont fusé des deux côtés pour finalement aboutir à un accord amiable paraissant surtout au bénéfice de la firme de Redmond avec la signature d’un accord de licence.
Linux sur le poste client : 1 % d'utilisateurs
La part de marché de Linux sur le poste de travail vient de dépasser 1 %, selon Net Applications. Faut-il s’écrier « déjà » ou « seulement » ? Replaçons déjà le contexte : sur le marché des serveurs, Linux s’en sort très bien, en particulier pour ce qui est des serveurs dédiés à l’Internet (e-mail, Web, DNS, etc.). Mais sur le poste client, c’est une autre affaire. En effet, sur ce marché, Linux doit se battre contre deux idées reçues particulièrement tenaces.