Après le changement de licence de Redis, la Fondation Linux a annoncé un projet alternatif baptisé Valkey. Ce dernier dispose déjà du soutien de plusieurs acteurs comme AWS, Google Cloud, Oracle et d’autres.
La semaine dernière, l’éditeur a annoncé un changement de licence affectant le cœur de sa base de données qui devient propriétaire, mais est accessible de manière permissive. Une modification qui fait grincer des dents, mais qui n’a rien d’étonnant.
Après plus de douze ans de procédure, rapporte l’association April, Orange vient d’être condamnée pour contrefaçon. Elle a violé les termes de la licence GNU GPL v2, et donc le droit d’auteur d’Entr’ouvert, société coopérative autrice de la bibliothèque libre de gestion d’identité LASSO (Liberty Alliance Single Sign On).
La cour d’appel de Paris a condamné Orange à payer 650.000 euros à la société coopérative Entr’Ouvert pour ne pas avoir respecté la licence GNU GPL v2.
Une PaaS open source est une bonne option pour les développeurs qui souhaitent contrôler l’hébergement de leurs applications et simplifier leur déploiement, mais il est important de connaître ses fondations techniques, ses principaux soutiens (commerciaux ou non) et la nature de sa licence.
L’utilisation de logiciels open source soulève des questions en matière de sécurité et de propriété intellectuelle. Voici comment prendre des décisions judicieuses et éviter des situations potentiellement regrettables.
Le cloud et l’IA sont devenus aujourd’hui des technologies essentielles, et toutes deux ont bouleversé le cadre stricto sensu des licences open source. Pour le contributeur Matt Asay, 2024 pourrait être l’année propice à la redéfinition de ce modèle.
En bref. Smile adhère au projet collaboratif Yocto. Crowdfunding pour le smartphone Murena, 100% libre. L’abandon des licences libres dans l’espoir de gagner plus ne date pas d’hier.
Alors que le sujet des risques liés aux hallucinations et aux biais de ChatGPT et ses concurrents prend de plus en plus de place, la startup française Giskard se positionne comme garante de la qualité des intelligences artificielles génératives. Elle espère imposer son service de certification des IA comme un tiers de confiance indispensable au développement du secteur… Un potentiel jackpot en perspective.
Dans le secteur extrêmement concurrentiel de l’IA, l’open source est-il condamné à être la bonne fille, utilisée à souhait mais jamais récompensée? Détrompez-vous.
HashiCorp, le principal contributeur de Terraform, adopte la licence BSL pour toutes ses futures versions de produits. Permissive pour la plupart des usagers, celle-ci interdit l’utilisation des logiciels à des fins commerciales, ce qui relance les questions relatives au modèle open core.